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Le Théâtre Descatésien

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23 mai 2009

La traduction du titre

Il y a une rectification de traduction : Meutre au bout des baguettes se dit "Hashi no saki no tasatsu" et s'écrit 箸の先の他殺

posté par Isaure

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23 mai 2009

Marre des retards

Il faut s'impliquer sérieusement pour les répétitions en petits groupes ! Je sais que ça n'est pas facile avec les cours de prendre une heure pour répéter mais si il y en a qui y arrivent, tout le monde peut le faire. Or vendredi midi le groupe des sushis pas bon n'était pas au complet.  Je ne sais pas pour le groupe de la morgue. Je n'accuse personne, mais ce genre de truc ne doit plus arriver. Quand on se donne un rendez-vous, on y vient et je comprend que ça puisse énerver Didier. On est dans la dernière ligne droite, alors ce n'est pas le moment de tout lacher. Des terminales ont réussis alors pourquoi pas nous ?

A partir de maintenant on va essayer de mieux s'organiser, envoyez- moi vos adresses e-mail et vos numéro de téléphone portable ou fixe (mes adresses sont zouzouecu@neuf.fr et dmonette666@hotmail.fr ). Je vais créer un carnet d'adresse que tout le monde aura. Je sais qu'un certain nombre de gens ne viennent pas sur le blog, alors donnez-moi les informations à leur place si vous pouvez. Je propose également de faire des répétitions en dehors des cours sans Didier.

Merci d'avance de prendre en compte mes remarques et bonne chance à tous

posté par Isaure

17 mai 2009

Nouvelle drague à l'hôpital

Drague à l’hôpital

Personnages : Valérie, un agent de police et la mafiosa.

Lieu : La cafétéria de l’hôpital

Valérie attend sa commande au comptoir pendant que le garde sirote un café. La mafiosa entre et s’approche du policier.

M_ Excusez-moi ! Vous êtes bien un policier ? Parce qu’il y a une femme dehors qui se plaint d’avoir été volée. (Elle parle sans accent)

       Il fait un geste comme pour partir puis se ravise en regardant Valérie encore au comptoir. De son côté, la mafiosa a esquissé un sourire en le voyant bouger.

♂_ Je ne peux pas m’occuper de votre problème. Appelez la police, c’est la seule chose à faire.

M_ Pour qu’on me réponde la même chose ! C’est toujours pareil avec la police, on doit se débrouiller tout seul ! (Elle reprend son accent) Mais tout cela ne va pas durer… Un jour ce sera la police chinoise qui fera la loi ici ! (Elle sort un sachet de son sac et le vide sans discrétion dans le café du policier, qui tourne exprès la tête à ce moment) Je vais régler ça moi-même !

Elle se retourne et commence à partir, mais elle est dépassée par le policier qui sort en courant après avoir fini son café. Il se tient le ventre. La mafiosa revient sur ses pas et se dirige vers Valérie qui vient de récupérer son thé. Valérie cherche du regard le policier et reconnaît la mafiosa. Elle cherche à partir.

M_ Pardon mademoiselle ! Pourriez-vous m’aider, mon père est tombé dans le couloire et je n’arrive pas à le relever ? (Elle parle sans accent)

V_ Heu… (elle déglutit) Je… Heu… Enfin… Je ne crois pas être assez forte pour vous aider, vous feriez mieux de demander à un infirmier.

La mafiosa réprime un accès de violence pour reprendre calmement et même avec une voix séduisante.

M_ Une jeune fille comme vous doit avoir des ressources. Mais je comprends que vous ne vouliez pas abîmer des mains aussi jolies. Elles semblent douces et fermes à la fois.

La mafiosa lui prend la main mais elle la retire.

V_ Excusez-moi, je suis pressée ! Il faut que je parte.

M_ Dommage ! Votre compagnie m’aurait été des plus douces, vous me semblez sympathique. Mais je sais ! Pour vous remercier de m’avoir accorder un peu de votre temps, je vais vous montrer un endroit que personne d’autre ne connaît.

V_ Ici, à l’hôpital ?

M_ Oui ! Et je pourrais vous montrer quelques petits tours. Je suis plus douée avec mon corps que j’en ai l’air.

Valérie croit que la mafiosa ne sait pas qui elle est et elle reprend confiance.

V_ Merci, c’est très gentil ! Mais ça ne m’intéresse pas. Je suis plutôt du genre… (Elle fait des gestes comme pour mimer un homme) Vous voyez ce que je veux dire ?

M_ Non je ne vois pas ! (Elle sort de son chignon une arme blanche et reprend son accent) Maintenant, tu me suis et sans broncher.

       Valérie attend que la mafiosa passe devant elle.

M_ Tu sais très bien ce que je veux dire ! Passes devant et direction la morgue !

Elles sortent toutes les deux. Valérie devant, suivie de la mafiosa avec l’arme contre son dos de Valérie.

posté par Isaure

13 mai 2009

Affiche retouchée!

Meurtre_au_bout_des_baguettes

12 mai 2009

Que c'est il passé le mardi 12 mai ?

Donc on était peu nombreuses...

on abossé la diction, revue les scène mais on s'est vite rendue compte k'a 6 c'était dur d'avancer...il nous manqué des textes (perso je ne me rapellé plus de ce k'il fallait faire pour mercredi) donc on s'est posé dans le demi-amphi et on a lut nos scène afin de voir ce que ça donné et si on parlé assez fort...mdr....on a étaient regardé par tous le monde (...le stress ^^) on a noté quelques idées qui nous sont venues et puis voilà...pas grand chose mais je pense que le travail de diction devant des gens était une bonne chose...on a surtout bien déliré et j'ai ramené du matériel pour la scène de la morgue...^^

voilà voilà... tous ça pour dire qu'il ne faut pas trop compter sur l'équipe de choc sachant que je suis la seule a venir régulièrement mais que j'ai une mémoire de poisson...de plus ce qu'on met sur le blog n'est vu que par 5 personne a chaque fois...

vickie

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12 mai 2009

Proposition d'affiche!

meurtre_au_bout_des_baguettes

9 mai 2009

mardi 12 mai

Coucou, je propose qu'on se retrouve TOUS afin de bosser la pièce en plusieurs atelier et de faire le point pour que mercredi dider ai moin de boulot et qu'on puisse avancer dans la pièce !

Je propose qu'on se rejoingne tous après 17 h  (voir 16 h selon les horraires okels vous finissez) jusqu'a 18h/19h.

Ce que je peut faire c'est demander la salle de permanence a monsieur crut et on pourrat s'y rendre afin de bosser. Il faut que tte les personnes de chaque scène soient présentes, informé tous le monde et envoyés moi un mail/sms afin de me tenir informée !

Apprenez vos textes pour mardi svp.

SOYEZ TOUS PRESENT CAR LA PIECE EST DANS UN MOIS SEULEMENT !

le plus important est de tenir vos partenaires de jeu au courant..plus il y aura de monde et plus on avancera...alors....

Si jamais il manque des gens on fera des ateliers pour bosser et on les remplacera, je vous propose de me rejoindra devant le licé a partir de 16h et selon combien de personne sont présente on ira direct en salle de perm pour bosser (le theatre bien sur) j'ai demandé la salle de perm de 16h a 19h... alors me lachez pas !

merci

vickie

8 mai 2009

Idée de titre bis

Je sais que je l'ai déjà proposé mercredi, mais j'aime bien "Meutre au bout des baguettes" qui se dit "Tasatsu ni hashi no sue" et qui s'écrit 他殺末. J'attend encore une comfirmation pour la traduction et l'écriture, mais je me suis dit que ça serait bien d'écrire le titre en japonais sur l'affiche.

Posté par Isaure

6 mai 2009

Titres

je dit juste c'était des idées qui me sont passer par la tête:
"Et si on aller manger des souchie ?"
"Ca te dit un resto chinois?"

2 mai 2009

scène entre amélie et sandrine

Scène entre Amélie et Sandrine : les deux filles réalisent, via un flash info, qu’elles sont à l’origine de la catastrophe.

Amélie regarde la télévision. Sandrine s’occupe à autre chose, genre lire un magasine, passer l’aspirateur, jouer avec son chat…

AMELIE : Sandrine…

SANDRINE (soupir): quoi, encore ?

AMELIE : j’ai un doute…

SANDRINE : mais bien sûr, comme d’habitude. C’est sur quoi, cette fois ?

AMELIE : nan, mais chuis sérieuse ! Là, aux infos, ils viennent de parler d’un couple qui a été enfermé pour trafic de drogue et meurtre d’un cuisinier chinois. Ça ne te rappelle rien ?

SANDRINE : Rien du tout.

AMELIE : mais enfin, Sandrine ! Tu te rappelles notre retour d’Egypte ?

SANDRINE (soupir): tu vois, je préfèrerais oublier la tête que nos parents ont fait quand ils nous ont vus débarquer nues en hurlant sur le port…

AMELIE : mais j’te parle pas de ça ! Quand on était dans la cale, on a trouvé des poissons pour sushis, non ? Et du sucre en poudre ?

SANDRINE : oui, même que t’as hurlé pendant deux heures parce que j’y ai goûté pour vérifier ce que c’était… et que c’était QUE du sucre en poudre !

AMELIE : Mais si ça se trouve, c’était de la drogue ! Le mec, là, David Pujadas, il a dit que de la drogue similaire avait été retrouvé dans un bateau venant d’Egypte ! C’est un peu gros comme coïncidence, non ?

SANDRINE : … Parle français, j’te suis plus, là.

AMELIE (prend un air un peu supérieur, enfile lunettes de soleil et un chapeau, genre flic de la crim’): attends, je t’explique ma version des faits : le sucre en poudre qu’on a bouffé sur le bateau pour tenir le coup, c’était de la drogue chinoise cachée dans des caisses de poissons à sushis, qui devait être revendue en France. Mais comme on en a bouffé, à l’arrivée y’en avait moins que ce qui était convenue par les acheteurs, et ils ont envoyé quelqu’un pour tuer le cuisinier chinois, qui devait être un intermédiaire des vendeurs ! J’te parie que c’est un coup de la mafia chinoise ou un truc comme ça !

SANDRINE : attends, tu recommences à divaguer, là. Ta foutue déduction est complètement tirée par les cheveux ! Et d’abord, tu ne crois pas qu’on aurait été complètement shootées, voire en overdose si c’était vraiment de la drogue ?

AMELIE : ça expliquerait pourquoi on a débarqué sur les quais à poil et en hurlant comme des tarées…

SANDRINE : bon, ok, mais c’est un peu gros que ça soit NOTRE bateau qui transportait la drogue qui a conduit à CE meurtre ! Et franchement, les tueurs n’ont pas vraiment une gueule de mafieux chinois !

AMELIE : un point pour toi.

SANDRINE : un partout.

AMELIE : ah mais non ! Tu ne te rappelles pas les premiers flashs infos ? Le couple, là, c’étaient des témoins au départ !c’est eux qui ont appelés la police ! Pourquoi ils les auraient appelés pour signaler un meurtre qu’ils auraient commis eux même ?

SANDRINE : Pas faux…

AMELIE : 2-1.

SANDRINE : t’as raison, même ! Si ça se trouve, la mafia a comploté contre eux pour qu’ils se retrouvent accusés du meurtre ! Y’a pas de raison pour qu’ils sachent que c’est les chinois qui ont commandité le crime, donc en les faisant incarcérer, ils font en sorte qu’ils ne pourront pas enquêter et découvrir la vérité !

AMELIE : Sandrine, tu me fais peur, tu parles comme un vrai flic…

SANDRINE : ah oui, t’as raison. (Prend elle aussi des lunettes de soleil et un chapeau style flic de Miami).

AMELIE : bien. nous allons tout de suite voir la police pour tout leur raconter et délivrer ces pauvres gens…

SANDRINE ; mais ça va pas, non ! T’es complètement débile ! D’abord, si on va raconter notre histoire de dingue et notre déduction qui l’est tout autant, ils vont nous prendre pour des tarées finies et c’est à l’HP qu’on va finir, et si par miracle on arrive à les persuader que c’est vrai, la mafia va l’apprendre et venir nous squeezer comme ils l’ont fait avec le cuistot chinois !

AMELIE : ah oui, zut, j’avais pas pensé à ça. (Prend un air de profonde réflexion).

SANDRINE, après un moment : tu me fais un peu pitié, là…

AMELIE : je sais ! On ne va rien faire du tout !

SANDRINE : et avoir un meurtre sur la confiance toute notre vie…

AMELIE : rhaaah, mais ‘faut savoir ce que tu veux ! on peut pas aller le dire, mais on ne peut pas ne pas le dire non plus !

SANDRINE : on ne peut pas le dire à la police ! Non, je sais ce qu’il faut faire : il faut tout raconter au couple accusé pour qu’ils le disent eux à la police ! si ils arrivent à les persuader, ils seront protégés en tant que sources, et ils n’auront rien à craindre de la mafia ! et nous, on aura fait notre boulot sans nous mouiller trop dans cette affaire !

AMELIE la regarde bouche bée : whaah, ton intelligence me sidère parfois…

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